Archive | novembre 2009
Mes premiers macarons : à la myrtille et à la fraise
Je savais que faire ses macarons n’était pas si évident, mais je m’étais mis en tête d’essayer jusqu’à ce que j’y arrive ! Alors pour un premier essai, je suis vraiment plus que satisfaite !! Que c’est bon !! Bien sûr au niveau esthétique, peut beaucoup mieux faire… mais je compte bien en réaliser d’autres de toutes les couleurs et tous les parfums au fil du temps pour m’améliorer. C’est donc la recette de Christophe Felder que j’ai retenue pour les coques et je l’ai faite sans thermomètre à sucre.
Pour environ 35 macarons (plus ou moins selon la taille)
– 200 g de sucre glace (pour ma part je le fais maison dans le thermomix)
– 200 g de sucre en poudre + 35 g pour serrer les blancs en neige
– 200 g de poudre d’amandes
– 2 x 70 g de blancs d’oeufs (soit l’équivalent de 4 oeufs environ)
– 40 ml d’eau
– du colorant alimentaire (facultatif et au choix)
Pour la ganache myrtilles (même chose pour la ganache fraises)
– 200 g de myrtilles (surgelées pour moi) ou fraises
– 300 g de chocolat blanc à pâtisser
– 100 ml de crème fleurette (épaisse pour moi)
Préparer d’abord la ganache (j’étais tellement persuadée que j’allais râter les macarons que je n’ai pas voulu la faire en premier) :
Mixer les myrilles puis filtrer le jus obtenu. Faire fondre le chocolat au bain-marie et y ajouter la crème fraîche. Hors du feu, rajouter le jus de myrtilles. Lisser le tout avec une spatule et réserver la ganache au frais.
Préparer les coques :
Avant toute chose, il est important d’utiliser des blancs d’oeufs séparés des jaunes depuis au moins trois jours afin qu’ils perdent leur élasticité et sortis la veille du frigo pour être à température ambiante.
Verser la poudre d’amandes et le sucre glace dans un saladier et les mélanger. Tamiser ensuite ce mélange dans un tamis fin au-dessus d’une grand saladie. Réserver.
Dans une casserole à fond épais, mélanger le sucre et l’eau, puis faire chauffer. Plonger le thermomètre dans le sirop pour contrôler sa température, elle doit atteindre 118°C.
Pendant ce temps,monter 70 g de blancs d’oeufs en neige ferme en incorporant par trois fois les 35 g de sucre en poudre. Surveiller le thermomètre, quand il indique 114°C ,faire tourner le batteur à pleine vitesse.
Dés que le thermomètre indique 118°C, retirer la casserole du feu, baisser la vitesse du batteur(vitesse moyenne),et verser petit à petit le sucre cuit sur les blancs montés, en prenant soin de le faire couler sur les bords du bol afin d’éviter toute projection de sucre.
Quand tout le sirop est versé, faire tourner de nouveau le batteur à pleine vitesse pour refroidir la meringue italienne (environ 40°C). Ajouter le colorant de votre choix (environ 20 gouttes : les macarons à la fraise sont d’un rouge assez clair). Arrêter le batteur quand la meringue est bien lisse, brillante et assez consistante, dite au « bec d’oiseau », car elle forme un léger bec au bout du fouet.
Pendant ce temps, verser les 70 g de blancs d’oeufs restants sur le mélange amandes/sucre glace, et mélanger à l’aide d’une spatule rigide : on doit obtenir une sorte de pâte d’amandes assez épaisse.
Incorporer une partie de la meringue dans le mélange sucre glace/poudre d’amandes/ blancs d’oeufs afin de détendre le tout. Ajouter le restant de meringue et macaronner. Le mélange doit être lisse et brillant.
Sur une plaque bien plate garnie de papier cuisson, et à l’aide d’une poche à douille (douille 8 mm si possible, pour moi 5 mm), faire des petits tas.
Taper légérement la plaque sur le plan de travail pour égaliser la surface des macarons.
Laisser croûter 30 minutes.
Enfourner 12 minutes à 170°C . Pour ma part, j’ai enfourné environ 14/15 minutes à 150°, ayant lu dans beaucoup d’articles qu’il est préférable d’avoir une température aux alentours des 150°.
Laisser complétement refroidir les coques avant de les garnir de la ganache.
Fermer ensuite chaque macaron avec une coque sans ganache.
Enfermez les macarons ainsi garnis dans une boîte hermétique pendant 24 H au frigo, puis laissez-vous aller à la gourmandise ! Ils sont réellement meilleurs après ce séjour au frigo plutôt que dégustés tout de suite….mais c’est très dur de résister !!!
Trio mousse et compote aux coings
Ayant quelques coings qui me restent, j’ai pensé que les accommoder en verrine aux couleurs tendres serait sympa…et très bon ! Ces verrines sont composées de compote de coings, de crème pâtissière vanillée et crème aux framboises auxquelles on rajoute un peu de chantilly pour une texture plus mousseuse.
Pour 6 personnes
– 500 g de coings nets épluchés et épépinés
– 20 cl de lait
– 20 cl de crème fraîche liquide fleurette
– 140 g de sucre en poudre
– 1 oeuf entier + 1 jaune
– 50 g de farine
– 20 g de beurre
– un peu de vanille en poudre
– 120 g environ de coulis de framboise
Couper les coings en morceaux, les mettre dans une casserole avec un peu d’eau (je n’ai pas mesuré, la valeur d’un bon verre environ) avec 70 g de sucre en poudre. Les faire cuire en compote jusqu’à ce qu’ils soient bien tendres (vérifier en cours de cuisson qu’il y a quand même assez d’eau). Vérifier le dosage de sucre. Passer au mixer. Laisser bien refroidir.
Préparer le coulis de framboises (je l’ai passé au tamis pour n’avoir aucun grain).
Préparer la crème pâtissière : dans une casserole, verser le lait et la moitié de la crème liquide, ajouter soit un sachet de sucre vanillé, soit de la vanille en poudre. Porter à frémissements.
Dans une terrine, fouetter l’oeuf et le jaune avec les 70 g de sucre restants jusqu’à ce que le mélange blanchisse. Verser la farine en pluie puis délayer avec le lait/crème. Faire épaissir sur feu doux. Ajouter le beurre hors du feu.
Répartir cette crème dans deux saladiers. Incorporer le coulis de framboises à l’une des 2 crèmes et laisser refroidir. Les crèmes et la compote doivent être très froides pour le montage en verrine.
Fouetter le reste de crème en chantilly très ferme et incorporer pour moitié dans chaque saladier.
Dans les verrines, alterner des couches de compote de coings, de crème vanille, compote, et crème framboises.
Gâteau gourmand aux marrons
Après la panna cotta à la crème de marrons que je vous proposais avant-hier, voici un délicieux gâteau, assez riche, certes, mais extrêmement fondant aux saveurs raffinées, qui a tout d’un dessert festif. J’ai utilisé des moules pyramides en silicone, et pour les quantités données, j’ai obtenu 5 gâteaux individuels. J’ai trouvé cette recette sur le site iSaveurs et j’ai utilisé de beaux marrons que je venais de faire cuire et d’éplucher à chaud pour enlever facilement les deux peaux.
– 280 g de marrons cuits et épluchés (ou en bocaux si vous préférez)
– 100 g de chocolat noir à pâtisser
– 100 g de beurre très mou
– 25 g d’écorces d’orange confite
– 1,5 cl de rhum
– 75 g de sucre glace
Ecraser les marrons au presse-purée ou moulin à légumes (ni au robot, ni à la fourchette). Couper les écorces confites en tout petits morceaux. Réserver.
Dans une casserole (je vous conseille pour ma part le bain-marie), mettre le chocolat découpé en morceaux, le faire fondre tout doucement. Pendant ce temps, fouetter vigoureusement le beurre mou avec le sucre glace jusqu’à ce que le mélange blanchisse (au thermomix pour moi).
Ajouter les marrons écrasés au chocolat fondu et bien mélanger. Ajouter alors le mélange beurre/sucre et mélanger (quelques secondes au thermomix pour moi) très vigoureusement à nouveau, rajouter le rhum et les écorces confites. Il faut que le tout forme un mélange très homogène.
Verser la préparation dans les moules choisis et laisser prendre au frigo pendant minimum 6 heures, voire toute une nuit, c’est encore mieux.
Déguster très frais.
Pain à la polenta
C’est le premier pain à la polenta que je fais, j’ai trouvé la recette chez Shandra ici. J’avais envie de découvrir d’autres saveurs en matière de pain, et c’est vrai que la présence de polenta apporte une réelle différence par rapport aux pains que je fais habituellement…à essayer. Je l’ai réalisé dans le thermomix. Je vous livre cependant la recette telle qu’elle est écrite par Shandra.
– 270 ml d’eau tiède,
– 1.5 c. à café de sel,
– 1 c. à café de sucre,
– 1 c. à soupe d’huile d’olive
– 1 c. à café de jus de citron
– 310 g de farine type T110
– 70 g de farine de seigle,
– 70 g de semoule de maïs (polenta fine).
– 20 g de levure de boulanger diluée dans 1 cs d’eau tiède sucrée
– quelques fruits secs pour la déco (facultatif)
Mettre tous les ingrédients dans la cuve de votre robot pétrisseur (thermomix pour moi en faisant chauffer levure + eau d’abord) et pétrir une dizaine de minutes.
Puis, sortez le pâton et façonnez 7 boules égales. Placez-en une au milieu et les autres autour, sur la plaque, assez écartées les unes des autres (0.5 cm environ): elles se souderont en levant et à la cuisson. Laisser lever 30 minutes (pour ma part j’ai laissé lever 1 heure et demi).
Incisez les boules, et déposez dans ces incisions vos fruits secs et farinez-en le dessus (facultatif).
Enfourner une vingtaine de minutes dans un four préchauffé à 185°. Sortez le pain et laissez le refroidir sur une grille.
Panna cotta à la crème de marrons
Il me restait un pot de crème de marrons que j’avais faite il y a quelques mois et pour l’utiliser, j’ai eu envie de faire une recette très simple et qui a toujours son petit succès…la panna cotta. Simple mais délicieuse et qui peut avoir un côté festif si on la décore avec des marrons glacés.
– 350 ml de crème fraîche liquide
– 150 ml de lait
– 30 g de sucre en poudre
– 80 g de crème de marrons (recette crème maison ici)
– 2 g d’agar-agar
– un peu de vanille en poudre ou en gousse
– un peu de crème de marrons et quelques marrons glacés pour le décor (facultatif)
Dans une casserole mettre tous les ingrédients (sauf ceux réservés au décor, bien sûr), bien battre au fouet afin que la crème de marrons se mélange parfaitement aux liquides.
Porter à ébullition l’ensemble en veillant bien à tourner, baisser le feu et laisser cuire 2 minutes tout en continuant de tourner assez souvent. Verser la préparation dans des moules (muffins en silicone pour moi). Laisser refroidir et réfrigérer 3 heures. Avant de servir, décorer comme bon vous semble.
Gâteau noir
Noir, c’est noir et noir c’est bon ! Si vous ne résistez pas à une envie de chocolat, n’hésitez pas à réaliser ce gâteau très simple, c’est un délice ! Il est moelleux, à la texture légère et recouvert d’un nappage mousseux. Cette recette est extraite d’un de mes livres : passionnément chocolat. Pour celles qui possèdent le thermomix, la pâte peut être bien sûr faite avec.
Pour 8 à 10 personnes
Pour la pâte
– 180 g de farine
– 150 g de sucre en poudre
– 80 g de beurre mou
– 3 oeufs
– 3 c. à soupe de cacao en poudre amer
– 7 cl de lait
– 1 sachet de levure chimique
Pour le nappage
– 140 g de chocolat noir à pâtisser
– 50 g de beurre
– 2 oeufs
– 2 c. à soupe de sucre en poudre
Dans un saladier, travailler le sucre avec les oeufs jusqu’à ce que le mélange blanchisse et devienne mousseux. Tout en continuant à battre, ajouter la farine tamisée, le cacao et la levure. Mélanger avec le lait et le beurre mou. Ajouter une pincée de sel et amalgamer les ingrédients de manière à obtenir un mélange homogène.
Verser cette pâte dans un moule à manqué de 26 cm bien graissé et chemisé s’il n’est pas en silicone.
Faire cuire dans le four à 180° pendant 35 minutes.
Sortir du four, laisser tiédir et démouler sur une volette.
Préparer le nappage : Casser le chocolat en morceaux et le faire fondre doucement au bain-marie avec le beurre coupé.
Casser les oeufs, monter les blancs en neige ferme et travailler les jaunes avec le sucre dans un saladier. Mélanger d’abord les blancs en neige aux jaunes puis le chocolat fondu. Bien mélanger.
Etaler ce nappage sur toute la surface du gâteau et laisser prendre dans un endroit frais et sec (pour étendre plus facilement le nappage, j’ai placé ce dernier une petite dizaine de minutes au frigo avant).
Décorer comme vous le voulez.
Chocolats croustillants au lait
Il me restait un paquet de gavottes au chocolat au lait, ce qui m’a donné envie de les transformer en délicieux chocolats, précurseurs des Fêtes…SIMPLISSIME !! Vous trouverez les mêmes mais en version pralinés ici.
Pour environ 8 à 10 chocolats (cela dépend des moules)
– 100 g de chocolat au lait à pâtisser
– 40 g de gavottes au chocolat au lait (des gavottes natures feront bien l’affaire aussi).
Faire fondre tout doucement le chocolat au bain-marie ou dans une chocolatière. Une fois qu’il est bien fondu et tout lisse, incorporer les gavottes finement émiettées. Bien mélanger et déposer dans des petits moules en silicone. Bien tasser la préparation dans ces moules pour éviter la formation de petits trous disgracieux sur les chocolats (je n’ai pas pu en éviter quelques uns, tant pis, je ferai mieux la prochaine fois !).
Placer au frigo au moins une heure, les démouler délicatement. Trop simple, non ?
Un petit conseil : n’utilisez que des gavottes que vous venez d’ouvrir, il ne faut pas qu’elle se soient tant soit peu ramollies, ainsi le chocolat sera très croustillant.
Crumble pommes, poires et coings
Il me reste quelques coings après la confection de pâte et gelée, alors pourquoi ne pas varier les plaisirs autour de ce fruit au parfum si subtil …ce crumble si facile à faire et tout simple nous a tellement plu que mes gourmands me demandent d’en refaire un coings/poires prochainement !
Pour 4 personnes
– 250 g de coings net épluchés épépinés
– 250 g de poires net épluchées, épépinées
– 250 g de pommes net épluchées, épépinées
– 1 c. à café de rhum (ou eau de rose)
– 25 g de sucre en poudre
Pour le crumble
– 100 g de farine
– 90 g de beurre
– 90 g de sucre roux
Dans une grande casserole, mettre les coings coupés en morceaux avec les 25 g de sucre et un peu d’eau (je n’ai pas mesuré, la valeur d’un demi-verre environ, voire un tout petit peu plus). Faire cuire 10 minutes (surveillez quand même s’il ne manque pas d’eau). Rajouter les pommes et les poires coupées en morceaux et le rhum ou l’eau de rose et laisser cuire encore 5 minutes. Disposer dans quatre petits plats individuels.
Faire le crumble en mélangeant la farine, le beurre et le sucre roux. Emietter et amalgamer grossièrement avec les doigts pour obtenir une pâte sablée. Laisser reposer un peu au frigo et disposer sur les fruits.
Faire cuire à four th. 180° pendant environ 20 minutes, il faut que le dessus soit légèrement doré.
Déguster frais.
Velouté Dubarry (avec ou sans thermomix)
Nous apprécions tous beaucoup les soupes et veloutés à la maison et j’aime en présenter souvent des nouveaux à table. Celui-ci est vite fait et vraiment délicieux. Il est possible de le réaliser dans le thermomix, c’est ce que j’ai fait, mais je vous livre également la version classique. Cette recette vient du blog 1234 filles aux fourneaux ici.
– 1 chou-fleur moyen
– le blanc d’un poireau
– 1 litre de bouillon de volaille ou fond de veau
– 50 g de farine
– 50 g de beurre
– 2 jaunes d’oeuf (je n’en ai mis qu’un)
– 100 ml de crème (allégée pour moi)
– Gros sel
Epluchez et lavez le poireau et le chou-fleur. Emincez le poireau. Divisez le chou-fleur en petits bouquets. Mettez de côté quelques sommités pour la décoration.
Faites suer le poireau dans le beurre sans coloration.
Versez la farine et cuire le roux blanc (même quantité de beurre et de farine) pendant 3 minutes. Attention le roux doit rester blanc. Baissez le feu si nécessaire.
Versez le bouillon sur le roux en remuant en permanence avec une cuillère en bois.
A la reprise de l’ébullition, ajoutez le chou-fleur. Salez au gros sel.
Le velouté doit cuire 40 minutes à couvert.
Vous pouvez cuire les sommités une dizaine de minutes dans une eau salée.
Mixez le velouté. Faites bouillir le velouté, il peut être nécessaire d’écumer légèrement.
Rajouter le jaune d’oeuf et la crème et bien mélanger.
Préparation au thermomix
Epluchez et lavez le poireau et le chou-fleur. Emincez le poireau. Divisez le chou-fleur en petits bouquets. Mettez de côté si vous le souhaitez quelques sommités pour la décoration.
Mettre le beurre dans le bol du thermomix et ajouter le poireau émincé. Régler à 100°, Vitesse 1 pendant 5 mn pour faire suer le poireau.
Ajouter la farine et poursuivre à 100°, vitesse 2 pendant 3 minutes (pas plus).
Ajouter le bouillon et programmer à 100°, vitesse mijotage pendant 5 mn.
Ajoutez le chou-fleur : j’ai mixé un peu au fur et à mesure car le choux-fleur n’aurait pas contenu tout entier dans le bol. Salez et poursuivre la cuisson à 100°, vitesse mijotage pendant 20 mn.
Vous pouvez cuire les sommités une dizaine de minutes dans de l’eau salée pour la décoration éventuellement.
Mixez le velouté Vitesse 9 pendant 40 secondes (pour éviter les projections et pour mieux mixer, je vous conseille vivement de faire cette opération en deux fois, moitié par moitié), rajouter le jaune d’oeuf et la crème et remixer légèrement sur 4.
Gâteau italien à la ricotta
Un gâteau familial, économique, simple ; un régal léger, parfumé et moelleux….recette trouvée sur le site « au féminin.com ».
– 75 g de beurre mou
– 170 g de sucre en poudre
– 75 g de ricotta
– 3 oeufs (jaunes et blancs séparés)
– 1,5 cuillère à café de levure chimique
– 175 g de farine
– le zeste et le jus d’un citron
– des fraises et du sucre glace mixés finement pour le coulis.
Beurrer un moule à manqué de 22 centimètres.
Réduire le beurre en pommade avec le sucre en poudre, bien fouetter. Incorporer la ricotta. Bien travailler la pâte. Rajouter ensuite les jaunes d’oeufs, la farine, la levure et les zeste et jus de citron. Travailler la pâte jusqu’à obtention d’un mélange homogène.
Barttre les blancs en neige ferme et les incorporer délicatement à la pâte. Verser dans le moule et faire cuire à four 180° pendant environ 40/45 minutes. Laisser 10 minutes sur la grille avant de démouler.
Une fois complètement refroidi, saupoudrer de sucre glace et servir avec un coulis de fraises ou pourquoi pas de framboises (passé au tamis dans ce cas). Pour ma part, j’ai utilisé des fraises du jardin surgelées. Pour encore plus de gourmandises, vous pouvez rajouter un peu de chantilly.
Chocolats fourrés à la ganache framboise
Les Fêtes de fin d’année s’approchent à grands pas et j’en profite pour improviser plus ou moins des chocolats aux différents parfums. C’est un peu le brouillon avant d’ouvrir officiellement les festivités et de les améliorer si besoin est.
J’avais des framboises au congélateur et j’ai voulu les inclure à une ganache chocolat au lait. D’habitude, j’utilise des moules plus hauts et là, j’ai tenté des petits moules plutôt plats, mais j’avais peur que l’enveloppe chocolat noir ne soit trop fragile. Résultat, comme m’a dit mon fils : pour un brouillon, c’est plutôt une exquis(se) ! Je reconnais qu’ils sont très bons, alors je vous partage la recette !
Pour 9 chocolats
– environ 140 g de chocolat noir à pâtisser (je n’ai pas vraiment pesé)
Pour la ganache
– 35 g de crème fraîche liquide
– 20 g de beurre
– 70 g de chocolat au lait à pâtisser
– 60 g de framboises mixées réduites en purée
Faire fondre tout doucement 70 g de chocolat noir au bain-marie ou dans une chocolatière. Lorsqu’il est bien fondu et lisse, badigeonner les moules à l’aide d’un pinceau de cuisine (ne pas laisser le moindre petit blanc visible). Laisser durcir au frigo.
Préparer la ganache : dans une casserole, mettre la crème fraîche et porter à ébullition. Hors du feu, ajouter le chocolat au lait haché. Bien mélanger afin d’obtenir un mélange bien lisse. Ajouter le beurre et faire de même. Enfin, rajouter la purée de framboises mixée (assez finement pour moi).
Garnir les moules chocolatés avec cette ganache (laisser un petit espace pour recouvrir le chocolat) à l’aide d’un flacon à pâtisser souple ou d’une poche à douille lisse. Mettre en attente au frigo.
Faire fondre le chocolat noir restant au bain-marie et en recouvrir délicatement le dessus des chocolats. Tous les espaces doivent bien être recouverts. Laisser prendre plusieurs heures au frigo.
Démouler délicatement.
Carrés aux amandes, parfum citron
C’est toujours sur l’une de mes anciennes revues que j’ai trouvé cette recette. De délicieuses bouchées délicatement parfumées et très moelleuses. Simplissime à faire !
Pour 6 personnes
– 200 g de farine
– 4 oeufs
– 15 cl de crème liquide (allégée pour moi)
– 80 g de cassonade
– 100 g de poudre d’amandes
– 80 g d’amandes entières blanchies
– 15 cl de vin blanc moelleux
– 1 sachet de levure chimique
Pour le sirop
– 150 g de sucre en poudre
– 1 citron bio
– 15 cl d’eau
Dans un récipient, fouetter les oeufs et la cassonade à blanchissement. Rajouter la crème et le vin blanc tout en fouettant. Ajouter alors la farine, la levure et la poudre d’amandes. Bien mélanger le tout.
Préchauffer le four à 200°. Beurrer un plat carré et y verser la préparation. Parsemer avec les amandes entières.
Enfourner environ 45 minutes.
Pendant ce temps, faire le sirop : faire bouillir le sucre en poudre avec l’eau pendant deux ou trois minutes. Hors du feu, rajouter le zeste râpé + le jus du citron. Laisser infuser 5 à 10 minutes. Filtrer.
Laisser tiédir légèrement le gâteau avant de le démouler et l’imbiber doucement du sirop en répartissant bien régulièrement sur toute la surface du gâteau. Laisser refroidir puis découper en carrés. Réserver au frais avant de servir.
Risotto au potiron et aux foies de volaille flambés au cognac
Simple, familial, gourmand et de saison avec le potiron…dans toutes les déclinaisons, le risotto, il a tout bon !
Cette recette est extraite de la revue « cuisine actuelle », nov. 2008.
Pour 4 à 5 personnes
– 300 g de chair de potiron, poids net sans la peau ni les graines (vous pouvez largement en rajouter 50 grammes)
– 350 g de riz spécial risotto
– 300 g de foies de volaille
– 1,25 l de bouillon de volaille
– 1 gros oignon
– 2 brins de cerfeuil (facultatif)
– 10 cl de vin blanc sec
– 2 c. à soupe de cognac (j’ai mis 3 ou 4)
– 6 c. à soupe d’huile d’olive
– 20 g de beurre
– 2 pincées de muscade moulue
– 50 g de parmesan râpé
– sel, poivre
Couper la chair du potiron en petits cubes. Dans une sauteuse, faire fondre l’oignon haché dans 1 cuillerée d’huile pendant 5 minutes.
Ajouter le potiron et laisser cuire à découvert jusqu’à ce qu’il soit bien tendre, en remuant régulièrement. Saler, poivrer.
Porter le bouillon de volaille à frémissements. Faire revenir le riz dans une sauteuse avec 2 c. à soupe d’huile d’olive. Quand les grains sont translucides, verser le vin blanc. Le laisser s’évaporer. Ajouter une louche de bouillon. Mélanger et lorsqu’il est absorbé, verser peu à peu et sans cesser de remuer le reste de bouillon. Laisser cuire environ 20 minutes.
Faire revenir les foies de volaille sur feu vif avec 20 g de beurre pendant 2 minutes. Saler, poivrer, asperger de cognac et flamber hors du feu.
Incorporer dans le riz cuit le reste d’huile, le parmesan, la muscade et le potiron. Garnir avec les foies et décorer éventuellement de cerfeuil.
Cupcakes choco-coco
Petite recette sympa trouvée sur iSaveurs. De très bons gâteaux très simples à réaliser, les cupcakes sont toujours un succès auprès des enfants (et des grands, of course !).
Pour 6 personnes
Pour les cupcakes
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170 g de sucre en poudre
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130 g de farine de blé
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2 oeufs
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5 g de levure chimique
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3 cl d’huile
-
3 cl de crème liquide
-
4 cl de jus de Fruit Exotique (jus d’orange frais pour moi)
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30 g de noix de coco râpée
Pour la ganache
-
15 cl de crème liquide
-
150 g de chocolat pâtissier noir
-
10 g de beurre
-
Préchauffer le four à 210°C (thermostat 7).
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Fouetter les oeufs et le sucre. Ajouter la farine et la levure chimique mélangée.
Rajouter l’huile, la crème, le jus de fruits et la noix de coco râpée.
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Faire cuire dans des petits moules individuels garnis de caissettes en papier pendant environ 15 minutes.
Pour la ganache
-
Réaliser la ganache en faisant bouillir la crème, puis la verser sur le chocolat préalablement concassé.
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Lisser doucement la préparation avec un fouet et ajoutez le beurre.
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Une fois que la ganache a une consistance de pommade, en recouvrir les cupcakes froids à l’aide d’une spatule ou d’un couteau à beurre ou encore d’une poche à douille. Parsemer de copeaux de noix de coco râpée.