Archive | janvier 2010

Mousseline de veau aux pétales de tomates confites

Il est bon de faire du tri dans ses veilles fiches de cuisine… c’est ainsi que j’ai retrouvé une recette que je m’étais promis de faire il y a longtemps. C’est chose faite aujourd’hui et elle fut un réel succès à notre table… du plus petit au plus grand, nous nous sommes régalés !


Pour 5 personnes

Pour les pétales de tomates confites (faites la veille pour moi)

– 5 tomates mûres

– 2 + 2 c. à soupe d’huile d’olive

– sel, poivre, un peu de sucre en poudre, thym déshydraté ou herbes de provence

Pour les mousselines

– 120 g de blanc de poireau

– 440 g de veau maigre

– 4 blancs d’oeufs

– 200 g de crème fraîche épaisse

Pour la sauce

– une sauce tomate au basilic

ou

– une sauce faite avec crème fraîche + fond de veau + basilic haché

Dans une casserole remplie aux 2/3,  faire bouillir de l’eau. Enlever le pédoncule des tomates et les plonger dans l’eau 10 secondes. Enlever tout de suite la peau.

Préchauffer le four à 80°. Couper les tomates en 4 et les épépiner. Disposer ces quartiers sur une toile de cuisson en silicone ou sur une plaque recouverte de papier sulfurisé.

Avec un pinceau de cuisine, les badigeonner généreusement d’huile d’olive, saler , poivrer et sucrer un tout petit peu. Saupoudrer de thym ou d’herbes de provence et enfourner pendant 1H 30.

Emincer finement le blanc de poireau et l’étuver dans une sauteuse avec de l’huile d’olive, saler et poivrer. Laisser refroidir.

Couper le veau en dés et le mixer finement avec les blancs d’oeufs et la crème. Assaisonner. Ajouter l’émincé de poireau et mélanger à nouveau.

Garnir des moules en silicone (forme au choix). Recouvrir d’une toile en silicone ou papier sulfurisé pendant la première demi-heure. Faire cuire environ 50 minutes dans un four préchauffé à 100°/105°.

Servir chaud avec les pétales de tomates confites et un cordon de sauce de votre choix. Pour ma part, j’ai opté pour une sauce que j’ai faite avec de la crème fraîche liquide à laquelle j’ai rajoutée 3 c. à café de fond de veau (ou de volaille), cuite quelques minutes + un peu de basilic haché.


Beignets aux pommes

Février est à notre porte avec son cortège de crêpes salées ou sucrées, ses bugnes, ses beignets en tous genres….un vrai bonheur tout simple de les préparer, de varier les plaisirs et de voir à chaque fois les yeux des enfants pétiller de gourmandise ! Un petit avant-goût aujourd’hui avec les beignets aux pommes à déguster tièdes ou chauds…un régal dont je ne me lasse pas ! La pâte parfumée au rhum (ou au calvados) est légère et croustillante, et à l’intérieur la pomme est fondante à souhait.


– 4 grosses pommes

– 250 g de farine

– 180 ml d’eau

– 50 ml de bière

– 50 g de sucre en poudre

– 2 oeufs

– 1 petit bouchon de rhum ou de calvados (facultatif)

Dans un saladier, mélanger la farine, une pincée de sel, le sucre, les jaunes d’oeufs (réserver les blancs), l’eau, la bière et le rhum. Vous devez obtenir une belle pâte lisse. Laisser reposer au frais au moins 30 minutes.

Pendant ce temps, éplucher les pommes, enlever le trognon à l’aide d’un vide-pomme et les découper en rondelles de 1 à 2 centimètres d’épaisseur.

Battre les blancs en neige ferme et les incorporer délicatement à la pâte sortie du frigo.

Faire chauffer un bain d’huile.  Tremper les rondelles de pommes dans la pâte et les plonger dans l’huile très chaude.

Faire cuire de chaque côté jusqu’à ce que l’ensemble soit bien doré.

Déposer sur du papier absorbant et saupoudrer de sucre. Déguster tiède, c’est encore meilleur.

Tranches de tomates grillées, tuiles au parmesan et vinaigrette aux agrumes

Recette  simple, légère et très savoureuse qui sera la bienvenue en apéritif ou en entrée (source Saveurs du Monde). Je vous conseille de faire les tuiles au parmesan une dizaine de minutes avant de servir pour qu’elles soient parfaitement croustillantes car si elles restent en attente plusieurs heures, elle ramolliront  et ne seront plus aussi savoureuses (possibilité aussi de les réchauffer quelques petites minutes au four avant de servir). Ce plat se déguste froid, généreusement arrosé de vinaigrette aux agrumes.


Pour 4 personnes

– 4 tomates

– 100 g de parmesan râpé

– 4 tranches (ou plus éventuellement) de fromage de chèvre frais d’environ 1 cm d’épaisseur

Pour le vinaigrette

– le jus d’un demi-citron

– le jus d’une demi-orange

– 90 ml d’huile de pépin de raison ou huile d’olive

– 30 ml de vinaigre de xérès ou vinaigre de vin rouge

– sel et poivre selon goût

Couper chaque tomate en 4 tranches égales et les badigeonner d’huile, de sel et de poivre.

Cuire les tomates sur un grill ou dans une poêle à très forte chaleur. Réserver.

Préparer les tuiles : sur une plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé, déposer des tas ronds de parmesan râpé. Tasser un peu et faire cuire à four th. 180° pendant environ 5 minutes jusqu’à ce que les tuiles soient légèrement dorées. Attendre quelques minutes à la sortie du four avant de décoller du papier cuisson. Les manipuler très délicatement.

Mélanger tous les ingrédients de la vinaigrette.

Disposer dans les assiettes les tranches de tomates et de fromage. Servir avec 1 ou 2 tuiles de parmesan. Déposer un filet de vinaigrette dans l’assiette et servir le reste en saucière.

Gâteau chocorange

C’est dans un vieux livre de cuisine que je n’ouvre pas souvent que j’ai pioché cette recette. Toutes celles qui s’y trouvent ont la particularité de mentionner des quantités assez astronomiques que je dois à chaque fois réajuster. Ce fut encore le cas pour ce délicieux gâteau qui a fait l’unanimité autour de la table. Il est composé d’une génoise à l’orange très moelleuse et aérée, fourrée d’une marmelade d’orange au cointreau (ou grand marnier), recouverte d’une crème au chocolat ferme et fondante, le tout surmonté de quelques rosaces de chantilly au  cacao. Simple et très bon.


Pour 8 personnes

Pour le gâteau

– 270 g de farine

– 160 g de sucre en poudre

– 4 oeufs

– 1 sachet de levure

– 2 oranges (jus)

– 1 petite tasse à café d’huile

Pour la garniture

– 3/4 d’un pot de marmelade d’oranges

– 2 c. à soupe de liqueur d’orange (cointreau, grand marnier)

Pour le nappage

– 150 g de chocolat noir

– 100 g de beurre

– un peu de gelée d’abricot

Pour le décor

– zestes d’oranges confits

– copeaux de chocolat

– crème fraîche liquide

– cacao en poudre non sucré

Casser les oeufs et séparer les blancs des jaunes. Travailler les jaunes avec le sucre jusqu’à ce qu’ils augmentent de volume et deviennent mousseux. Ajouter peu à peu le jus des oranges, l’huile et la farine mélangée avec la levure.

Monter les blancs en neige ferme et les incorporer délicatement à l’appareil.

Beurrer un moule d’environ 22 à 24 cm de diamètre et y verser la pâte. Faire cuire 40 minutes dans un four préchauffé à 180°.

Démouler le gâteau et le mettre à refroidir sur une grille.

Pendant ce temps, travailler la marmelade d’orange avec les 2 c. à soupe d’alcool.

Diviser le gâteau en deux moitiés d’égales épaisseur et y étaler la marmelade parfumée puis recomposer le gâteau. A l’aide d’un pinceau, badigeonner toute la surface et les côtés du gâteaux avec de la gelée d’abricot chaude.

Dans une casserole, faire fondre (au bain-marie pour moi), le beurre et le chocolat coupés en morceaux. Laisser refroidir le nappage puis le tartiner sur toute la surface et les côtés du gâteau.

Fouetter de la crème en chantilly très ferme, y incorporer délicatement un peu de cacao en poudre et décorer le pourtour du gâteau à l’aide d’une poche à douille. Vous pouvez y ajouter des copeaux de chocolat, des zestes d’oranges confits et/ou faire des petits dessins avec du chocolat blanc doucement fondu avec une noisette de beurre.

Boules sablées noix et pépites de chocolat

Après les boules sablées café/noisettes qui ont eu beaucoup de succès, j’ai voulu faire une petite variante car il me reste beaucoup de noix à utiliser. J’ai donc repris la même base, remplacé la poudre de noisettes par de la poudre de noix, le café par  des pépites de chocolat et rajouté un soupçon de rhum…vraiment délicieux ces petits sablés !


Pour 15 boules sablées

– 120 g de farine

– 40 g de sucre en poudre

– 40 g de chocolat noir concassé grossièrement

– 90 g de beurre très froid

– 60 g de noix entières décortiquées réduites en poudre

– 1 pincée de sel

– 1 pincée de bicarbonate

– 1 c. à café de rhum (facultatif)

Pour le décor

– 15 cerneaux de noix

– 5 g de sucre glace

– 5 g de cacao en poudre non sucré

Mixer les noix en poudre fine. Dans un saladier, mettre le beurre froid coupés en petits dés, le sucre, le sucre vanillé, la poudre de noix, la farine, le bicarbonate, le rhum, le sel et les pépites de chocolat, bref, tous les ingrédients.

Sabler longuement du bout des doigts (5 minutes au moins) jusqu’à ce que le beurre soit parfaitement intégré et que le tout forme une pâte homogène. Former une boule, l’emballer dans du film alimentaire et maintenir 1 heure au frigo.

Préchauffer le four à 180°. Former 15 boules de 20 g chacune environ avec la pâte et les placer sur une plaque à pâtisserie recouverte de papier sulfurisé.

Déposer au centre de chaque boule un cerneau de noix en l’enfonçant légèrement avec le doigt.

Faire cuire 15 à 18 minutes.

Mélanger le sucre glace et le cacao non sucré et dés la sortie du four, tamiser largement le mélange sur les boules. Laisser refroidir sur une grille.

Boules sablées café et noisettes

Ces sablés sont tout simplement exquis, tant par la texture que par la subtilité du goût ! D’une facilité déconcertante, rapide, cette recette trouvée chez Eryn Folle cuisine est une petite merveille. L’alliance café/noisettes m’a faite complètement craquer !

Pour plus de saveur, je vous conseille (tout comme Eryn) d’utiliser des noisettes entières que vous mixerez finement jusqu’à l’obtention d’une poudre, car celle toute prête que l’on trouve dans le commerce n’a rien à voir au niveau gustatif. Depuis longtemps, je n’achète plus de poudre déjà prête pour cette raison ; essayez, vous serez convaincus de la différence.


Pour 15 boules sablées

– 120 g de farine

– 30 g de sucre en poudre

– 15 g de sucre vanillé

– 90 g de beurre très froid

– 5 g de café moulu fort (pas de café lyophilisé). J’ai dû en mettre moins car ma balance n’est pas précise mais nous avons trouvé le dosage parfait.

– 60 g de noisettes entières décortiquées réduites en poudre

– 1 pincée de sel

– 1 pincée de bicarbonate

Pour le décor

– 15 moitiés de noisettes

– 5 g de sucre glace

– 3 g de café moulu (non lyophilisé)

Mixer les noisettes en poudre fine. Dans un saladier, mettre le beurre froid coupés en petits dés, le sucre, le sucre vanillé, la poudre de noisettes, la farine, le bicarbonate, le sel et le café moulu, bref, tous les ingrédients.

Sabler longuement du bout des doigts (5 minutes au moins) jusqu’à ce que le beurre soit parfaitement intégré et que le tout forme une pâte homogène. Former une boule, l’emballer dans du film alimentaire et maintenir 1 heure au frigo.

Préchauffer le four à 180°. Former 15 boules de 20 g chacune environ avec la pâte et les placer sur une plaque à pâtisserie recouverte de papier sulfurisé.

Déposer au centre de chaque boule une demie-noisette en l’enfonçant légèrement avec le doigt.

Faire cuire 15 à 18 minutes.

Mélanger le sucre glace et le café moulu (pour le décor) et dés la sortie du four, tamiser largement le mélange sur les boules. Laisser refroidir sur une grille.

Les chouquettes et recette de la pâte à choux

Pas trop de temps ni trop d’idée aujourd’hui pour le dessert, alors je me suis dit que des chouquettes allaient faire l’unanimité. Bingo ! juste le temps de faire la pâte à choux (recette que j’utilise depuis 33 ans !), de dresser les chouquettes sur la plaque et hop au four pendant que nous mangeons…résultat : des chouquettes tièdes et cuites à point pour le dessert. C’est à peine si mes affamés m’ont laissée le temps de prendre quelques photos… les 30 chouquettes ont disparu en un clin d’oeil !

Pour une trentaine de belles chouquettes

– 180 g d’eau

– 140 g de farine tamisée si possible

– 90 de beurre

– 1 c. à café rase de sucre en poudre

– un peu de rhum et un peu d’eau de fleur d’oranger (le dosage est selon goût, ne pas trop forcer cependant). Vous pouvez ne pas mettre de parfum du tout aussi.

– 4 oeufs

– 2 belles pincées de sel

– environ 3 ou 4 c. à soupe de grains de sucre pâtissiers pour le décor

Dans une casserole assez grande, mettre l’eau, le beurre coupé en petits morceaux, le sel, le sucre. Faire chauffer doucement. Lorsque le beurre est fondu, forcer légèrement le feu : le mélange doit « monter » comme du lait. Retirer du feu.

Ajouter de manière très rapide toute la farine et mélanger vivement de telle sorte à n’avoir pas le moindre grumeau. Battre individuellement chaque oeuf en omelette dans un petit bol et l’introduire par moitié dans la préparation en mélangeant bien entre chaque rajout.

Introduire les parfums, bien mélanger. La pâte doit être lisse et souple.

Sur une plaque de cuisson bien graissée, former des petits tas de pâte (la valeur d’une grosse noix) et parsemer le dessus de grains de sucre pâtissiers.

Cuire 30 minutes à four préchauffé th 190° (ne pas ouvrir la porte du four pendant la cuisson). La pâte doit être dorée.

Cupcakes aux marrons glacés

Il me restait quelques marrons glacés ouverts pendant les Fêtes, et comme tous les prétextes sont bons pour faire des cupcakes, je vous propose cette recette aujourd’hui. Je regrette de ne pas l’avoir faite pendant la période de Noël, car ces gâteaux ont tout du cupcake de fête : le goût et le look, surtout si vous rajoutez sur le dessus un morceau de feuille d’or alimentaire et que vous choisissez une caissette en papier chic.

Je vous conseille vivement de réaliser la partie glaçage (uniquement) la veille, pour la conserver au frigo. Si vous ne pouvez pas, veillez à ce qu’elle reste au froid au moins pendant 4 à 5 heures. Il s’agit d’une ganache au chocolat blanc faite donc la veille, et montée le lendemain, en une divine crème mousseuse…un régal absolu !


Pour 6 cupcakes

– 120 g de farine

– 80 g de sucre en poudre

– 1/2 c. à café de bicarbonate de soude

– 60 ml de lait

– 80 g de beurre

– 1 oeuf

– 80 g de crème de marrons

– 1/2 c. à café d’extrait de vanille liquide

– 6 marrons glacés

Pour la crème

– 120 g de chocolat blanc

– 180 ml de crème entière liquide

La veille (ou au moins 5 heures avant), faire fondre le chocolat blanc avec 50 ml de crème liquide entière sur feu très doux ou au micro-ondes. Quand le mélange est homogène, ajouter le restant de crème et laisser reposer toute la nuit au frigo.

Mélanger le sucre et le beurre pommade au fouet électrique puis ajouter l’oeuf. Incorporer la farine, le bicarbonate et une pincée de sel, puis le lait, la crème de marrons et la vanille. La pâte doit être homogène. Incorporer délicatement à l’aide d’une spatule, les marrons glacés coupés en petits morceaux.

Verser la pâte dans 6 moules à muffins garnis de caissettes en papier. Mettre au four th. 180°, pendant 20 à 25 minutes.

Laisser refroidir sur une grille.

Fouetter au fouet électrique la  ganache au chocolat blanc jusqu’à l’obtention d’une crème mousseuse qui se tient parfaitement pour être dressée à la poche à douille.

Garnir les cupcakes à l’aide d’une poche à douille cannelée et réserver au frais. Avant de servir, décorer d’une brisure de marrons glacés ou d’un petit morceau de feuille d’or alimentaire.

Mousse de litchis et pamplemousse

Envie d’un dessert qui marie fraîcheur, douceur et saveur ? Cette verrine vous plaira sûrement car elle allie vraiment les trois. La mousse de litchis est douce et légère comme un nuage et le gélifié de pamplemousse souple et fondant. J’ai ainsi réussi à faire manger des litchis à l’un des mes fils qui ne les aime pas vraiment, il s’est régalé avec cette mousse…et nous aussi !

Pour environ 10 verrines (tout dépend de leur taille)

Pour la mousse

– 400 g de litchis en boîte

– 2 blancs d’oeuf

– 150 ml de crème liquide entière

– 70 g de sucre en poudre

– 4 g de gélatine en feuilles

– 1 c. à soupe de coulis de framboises (facultatif) : c’est juste pour colorer légèrement la mousse

Pour le gélifié

– 300 ml de jus de pamplemousse (j’ai utilisé des pamplemousses roses)

– 2/3 d’une c. à café d’agar-agar

Pour le décor

– 1 pamplemousse

– décor en chocolat blanc (facultatif)

Préparer la mousse : faire ramollir la gélatine dans de l’eau froide.

Egoutter les litchis et en réserver une dizaine (ou un peu moins) pour le décor, ainsi que le jus. Mixer finement les litchis.

Porter à ébullition 100 ml de jus de litchis pendant une petite dizaine de minutes, puis y faire fondre en tournant,  les feuilles de gélatine ramollies et essorées. Ajouter ce jus à la purée de litchis.

Monter les blancs d’oeufs en neige. Ajouter 40 g de sucre quand ils commencent à mousser et continuer de battre jusqu’à ce qu’ils soient très fermes. Les ajouter délicatement à la purée de litchis ainsi que le coulis de framboises (facultatif).

Monter la crème en chantilly bien ferme avec le sucre restant (30 g) et l’incorporer au mélange précédent.

Répartir cette mousse dans les verrines et placer au frais pendant au moins 4 heures.

Préparer le gélifié : mettre le jus de pamplemousse dans une petite casserole et le faire chauffer, rajouter l’agar-agar et laisser bouillir doucement une minute en remuant. Laisser refroidir en mélangeant souvent, et dès que ça gélifie un peu, le verser sur les mousses. Laisser reposer au moins 1 heure au frigo. Il faut que le gélifié soit ferme avant d’y déposer le décor de fruits.

Eplucher le pamplemousse à vif. En déposer quelques morceaux sur le dessus des verrines ainsi qu’un litchi et éventuellement des décors en chocolat blanc ou  quelques perles de sucre.

Cupcakes parfum d’orange aux zestes confits et photos de neige

C’est reparti avec les cupcakes…je reprends la même base et ceux-ci sont une petite improvisation pour finir le pot de marscarpone !

C’est en photographiant ce cupcake sur la dernière petite plaque de neige qui reste, que j’ai réalisé que quelques photos prises il y a 15 jours se trouvaient toujours dans mes archives. Elles sont toutes simples ; certaines prises dans mon jardin et les autres à côté de la maison. Je ne résiste pas à les joindre à ce post avec un peu de nostalgie, car j’adore la neige qui apporte à la nature tant de féérie et de beauté immaculée.

Pour 6 cupcakes

– 125 g de farine

– 125 g de sucre

– 1 c. à café de levure chimique

– 90 g de beurre fondu

– 2 oeufs

– 2 c. à café d’extrait d’orange

– 4 ou 5 c. à café de zestes d’orange confits (bio et maison pour moi)coupés en petits morceaux

– 2 c. à soupe de lait

Pour le glaçage

– 150 g de mascarpone

– 3 c. à soupe de sucre glace

– quelques gouttes d’extrait d’orange

– 1 c. à soupe de crème fraîche

– quelques gouttes de colorant rouge et jaune ou bien orange (facultatif)

Placer des caissettes en papier dans des moules à muffins.

Dans un saladier, fouetter les oeufs avec le sucre, ajouter le beurre fondu, le lait et l’extrait d’orange. Bien fouetter et rajouter la farine et la levure en quatre fois. Bien mélanger le tout. Rajouter les zestes d’oranges confits coupés en petits morceaux et mélanger une dernière fois.

Verser cette pâte dans les caissettes et enfourner dans le four préchauffé à 180° pendant environ 20 minutes.

Sortir les cupcakes des moules rigides et laisser refroidir sur une grille.

Dans un grand bol, fouetter à la fourchette le mascarpone avec le sucre glace. Ajouter 1 c. à soupe de crème fraîche (éventuellement 2 mais attention, le colorant va liquéfier le mélange) et quelques gouttes d’extrait d’orange. Ajouter le colorant et mélanger.

Mettre cette crème dans une poche à douille et dresser sur les cupcakes refroidis. Décorez à votre guise.


Cupcakes framboise-vanille

Il me restait quelques framboises au congélateur et j’ai eu envie de faire ces cupcakes pour les utiliser. Petits gâteaux très en vogue à décliner à l’infini, les cupcakes ont toujours du succès à la maison….ceux-ci ont été dévorés en un clin d’oeil avec un bon nombre de « hummmm !! » qui fusaient des quatre coins de la table !

Vous pourrez également remplacer dans cette recette les framboises par des fraises et la gousse de vanille par de la vanille en poudre.



Pour 6 à 7 cupcakes

– 125 g de farine

– 125 g de sucre

– 1 c. à café de levure chimique

– 90 g de beurre fondu

– 2 oeufs

– 1/2 gousse de vanille

– 100 g de framboises + 6 pour décorer éventuellement (surgelées pour moi)

– 2 c. à soupe de lait

Pour le glaçage

– 150 g de mascarpone

– 3 c. à soupe de sucre glace

– 1/2 gousse de vanille

– 3 ou 4 c. à soupe de crème fraîche liquide

– quelques gouttes de colorant rouge

Placer des caissettes en papier dans des moules à muffins.

Dans un saladier, fouetter les oeufs avec le sucre, ajouter le beurre fondu, le lait, les grains de la demi-gousse de vanille grattée. Bien fouetter et rajouter la farine et la levure en quatre fois. Bien mélanger le tout. Rajouter les framboises (ou les fraises) coupées en petits dés et mélanger délicatement à la spatule.

Verser cette pâte dans les caissettes et enfourner dans le four préchauffé à 180° pendant environ 20 minutes.

Sortir les cupcakes des moules rigides et laisser refroidir sur une grille.

Dans un grand bol, fouetter à la fourchette le mascarpone avec le sucre glace et y ajouter l’autre demi-gousse de vanille grattée. Ajouter 3 c. à soupe de crème fraîche (4 si le mélange est très épais). Mettre la moitié de cette préparation dans un autre bol et y rajouter quelques gouttes de colorant rouge, bien mélanger. Pour ma part, je n’ai pas assez forcé sur la dose, un rose plus vif aurait été beaucoup plus joli.

Mettre la poche à douille avec une douille cannelée dans un verre très haut ou un vase en guise de support (il en existe cependant dans le commerce), pour que l’opération soit plus pratique.  Appliquer la crème mascarpone blanche d’un côté dans la poche à douille et faire de même avec la crème rose de l’autre côté dans la poche à douille. Dresser ainsi ce glaçage sur les cupcakes et décorer d’une framboise ou petites perles en sucre par exemple.

Mousse aux Carambars et pop-corn

Nous nous sommes vraiment régalés avec cette verrine qui joue la carte de l’originalité. Elle a surpris et vraiment séduit tous mes gourmands ! Les Carambars au caramel sont toujours boudés et laissés de côté chez nous. Cependant, ainsi transformées en mousse, ces friandises ont recueilli tous les suffrages ! Cette mousse a une texture très fine, légère, onctueuse, délicatement parfumée…et associée aux pop-corn légèrement caramélisés, retour en enfance assuré !

Cette mousse peut être réalisée sans problème la veille.


Pour 6 belles verrines

– 150 g de Carambars

– 50 g de chocolat au lait

– 250 ml de lait

– 3 oeufs

– 4 g de gélatine en feuilles

– 200 ml de crème fraîche liquide entière

– 1 tasse de maïs à pop-corn

– 1 c. à café d’huile

– 3 c. à soupe de sucre

Dans une casserole, faire fonder les Carambars et le chocolat dans le lait à feu doux, en veillant à mélanger très régulièrement jusqu’à ce que les Carambars soient complètement fondus.

Séparer les blancs d’oeufs des jaunes. Fouetter les jaunes dans un saladier et ajouter un peu de lait aux Carambars en fouettant sans cesse. Verser le tout dans la casserole de lait et faire un peu épaissir à feu doux, comme une crème anglaise.

Ajouter la gélatine préalablement ramollie dans de l’eau froide et essorée, puis laisser légèrement tiédir.

Fouetter la crème liquide en chantilly ferme et l’incorporer à la crème aux Carambars.

Monter les blancs d’oeufs en neige puis les incorporer à leur tour.

Répartir la mousse dans les verrines et les placer au frais 4 heures au minimum.

Faire chauffer l’huile dans une sauteuse, ajouter le maïs, couvrir puis attendre qu’il éclate en secouant de temps en temps. Lorsque plus rien ne claque, saupoudrer de sucre, couvrir 1 minute puis mélanger jusqu’à ce que le pop-corn ait une belle couleur dorée.

Au moment de servir, couvrir les mousses de pop-corn.

Couronne des Rois briochée

Le jour de l’Epiphanie (et souvent les dimanches qui suivent !),  je fais traditionnellement la frangipane car tout le monde aime beaucoup à la maison. D’un autre côté, nous sommes aussi très friands de brioches que j’adore faire sous toutes les formes. Alors, aujourd’hui pour concilier les deux, je vous propose cette couronne délicieuse…trop top dégustée tiède !

– 375 g de farine

– 1 c. à café très rase de sel

– 20 g de levure du boulanger

– 30 g de lait tiède

– 3 oeufs

– 120 g de beurre mou

– 50 g de sucre en poudre

– 60 g de fruits confits coupés en petits dés

– 60 g de raisins secs

– 50 g d’écorces d’orange confites

– 50 g d’écorce de citron confit

Pour la décoration

– cerises confites

– quelques fruits confits éventuellement

– 1 jaune d’oeuf pour dorer (facultatif)

– 1 fève

– sucre en grains

Dans un robot pétrisseur (thermomix pour moi), faire fondre la levure dans le lait tiède. Tout en pétrissant ajouter le beurre mou coupé en morceaux. Ajouter les oeufs, le sucre et la farine en continuant à pétrir pendant une bonne dizaine de minutes.

Mettre la pâte dans un saladier, recouvrir d’un torchon propre ou film alimentaire et laisser gonfler à température ambiante environ 1 heure.

Travailler ensuite la pâte sur un plan de travail légèrement fariné. Abaisser la pâte et la plier en 4. Faire pivoter la pâte d’un quart de tour, puis recommencer cette opération 2 fois. Former alors un rectangle avec la pâte et parsemer les fruits confits, raisins secs et toutes les écorces sans oublier la fève. Rouler la pâte en formant un boudin, former ensuite une couronne en rejoignant les deux extrémités que vous souderez.

Badigeonner de jaune d’oeuf (facultatif) et décorez comme bon vous semble.

Laisser ainsi la couronne gonfler et au moins doubler de volume, voire tripler. Pour ma part, je l’ai laissée au moins 3 heures à température ambiante.

Enfourner alors dans le four préchauffé à 185° pendant environ 30 minutes. Juste le temps de faire trois photos et nous l’avons dégustée tiède, elle n’en est que meilleure.

Douceur de poires

Voici une nouvelle verrine absolument délicieuse qui mêle quatre textures et quatre saveurs différentes. Les dès de poires très fraîches entraînent avec eux la douce ganache chocolat pour rencontrer le croustillant sablé breton qui s’allie à la délicate et très légère mousse de poire… pour notre plus grand plaisir !


Pour 6 verrines (j’en ai obtenu sept)

Pour la mousse de poire

– 4 grammes de gélatine ou 1 c. à café rase d’agar-agar (agar-agar pour moi)

– 200 g de purée de poire

– 1 blanc d’oeuf

– 70 g de sucre en poudre

– 200 ml de crème fraîche liquide entière

– 1 c. à soupe d’eau de vie de poire (facultatif)

Pour le reste de la verrine

– entre 6 et 9 sablés bretons

– 140 g de chocolat noir

– 100 ml de crème liquide

– 1 petite boîte de poires au sirop

– billes chocolatées pour le décor

Réduire les sablés en miettes et les répartir dans les verrines.

Faire chauffer la purée de poires, y ajouter la gélatine ramollie dans de l’eau froide et essorée, ou bien l’agar-agar chauffé dans 3 c. à soupe d’eau. Ajouter l’alcool de poire (facultatif) et bien mélanger le tout.

Faire cuire dans une petite casserole 60 g de sucre et 15 ml d’eau, à 120° (cuisson au grand boulé).

Monter le blanc d’oeuf en neige et ajouter les 10 g de sucre restants quand il commence à mousser.

Lorsque le sirop de sucre atteint 120°, le verser à petite vitesse sur le blanc d’oeuf en neige. Puis, battre à grande vitesse jusqu’au refroidissement.

Incorporer cette meringue italienne à la purée de poire, bien mélanger ; puis incorporer à ce mélange, la crème fraîche montée en chantilly ferme.

Répartir cette mousse dans les verrines, sur les biscuits, et laisser reposer 2 heures au frigo.

Faire fondre tout doucement le chocolat avec la crème fraîche, laisser tiédir très légèrement et répartir sur la mousse. Je vous conseille de dresser cette ganache à la poche à douille, c’est plus pratique.

Une fois le chocolat totalement refroidi, placer les poires au sirop coupées en petits dés et décorer éventuellement de billes chocolatées.

Déguster frais.

Moelleux au saumon fumé, coeur coulant asperge verte

Je m’étais promis de continuer à vous proposer des moelleux salés au coeur coulant, c’est chose faite aujourd’hui avec ces petits délices raffinés.

Excellente recette extraite de mon livre « craquez pour les moelleux salés ». J’ai utilisé de la farine blanche, mais cette recette peut être réalisée avec de la farine de sarrasin car celle-ci se marie parfaitement avec le saumon fumé et l’asperge. Par ailleurs, vous pouvez remplacer éventuellement le velouté d’asperges vertes par un velouté de poireaux.


Pour 6 moelleux

– 200 ml de lait

– 30 g de beurre doux

– 100 g de gruyère râpé

– 100 g de saumon fumé

– 3 oeufs

– 60 g de farine de sarrasin tamisée (farine blanche pour moi)

– 150 ml de velouté d’asperges vertes

Verser le velouté d’asperges dans 6 cubes à glaçons et les placer 2 heures au congélateur.

Pendant ce temps, préparer les moelleux : couper le saumon en petits morceaux.

Dans une casserole, faire chauffer le lait avec le beurre. Ajouter le gruyère râpé et mélanger sans cesser de remuer jusqu’à ce qu’il soit fondu. Hors du feu, incorporer le saumon.

Dans un saladier, battre les oeufs en omelette et verser progressivement la farine en fouettant vigoureusement.

Verser le contenu de la casserole dans le saladier et mélanger le tout afin d’obtenir une pâte homogène. Saler et poivrer à votre convenance.

Répartir la préparation dans 6 moules beurrés (muffins en silicone pour moi), et les placer au frigo jusqu’à ce que les glaçon de velouté soient pris.

Préchauffer le four à 210°.

Placer 1 glaçon de velouté au centre de chaque moelleux. Enfourner 18 minutes.

Laisser tiédir légèrement les moelleux avant de les démouler. Servir aussitôt.

Flan à la noix de coco et son nuage chocolaté

C’est encore une recette avec de la noix de coco que je vous propose aujourd’hui….entre noix de coco râpée et flocons de neige, on navigue dans le blanc pur et la légèreté, même si l’un évoque le soleil et l’exotisme et l’autre le froid et le réalisme de ces jours-ci ! mais l’essentiel est que l’on se régale….donc au menu, ces flans noix de coco, photographiés..dans la neige, bien sûr !

Ils ont eu un énorme succès à la maison et ce qui est extrêmement agréable en bouche, c’est l’alliance des trois textures. En effet, à la cuisson, le flan va se diviser en deux couches : le flan très onctueux, puis une couche de moelleux mousseux à la noix de coco, et le tout sera surmonté d’une chantilly très douce et aérienne au chocolat au lait. Il est grandement recommandé de réaliser ce délicieux dessert la veille ou à la limite, le matin pour le soir.


Pour 6 personnes

– 2 oeufs

– 260 ml de lait concentré non sucré

– 120 ml de lait

– 60 g de sucre

– 60 g de noix de coco râpée

– 50 g de chocolat au lait

– 200 ml de crème fraîche liquide entière

– éventuellement quelques disques de chocolat pour le décor

Mélanger le lait concentré, le lait et les jaunes d’oeufs. Ajouter le sucre et la noix de coco. Bien mélanger.

Monter les blancs d’oeufs en neige ferme. et les incorporer au mélange précédent.

Verser la préparation dans 6 petits ramequins (ne pas les remplir jusqu’à ras bord) pouvant aller au four. Les placer dans un bain-marie, puis au four à 180° pendant 20 bonnes minutes.

Laisser refroidir puis placer au frais.

Faire fondre tout doucement le chocolat au lait avec la moitié de la crème (soit 100 ml). Lorsque le mélange est homogène, ajouter le restant de crème. Couvrir et laisser reposer une nuit au frigo.

Le lendemain, monter la crème chocolatée en chantilly très ferme et la dresser sur les flans à l’aide d’une poche à douille.

Placer au frais jusqu’à la dégustation.

Tartelettes banane-coco

Je vous propose aujourd’hui une petite recette simple et vraiment très bonne que j’ai faite pour utiliser des bananes qui me restaient.

Les photos ne sont pas réussies, petit problème d’appareil, désolée !  j’en profite pour faire aussi un clin d’oeil aux 30 centimètre de neige tombés ces 3 derniers jours…..et ce n’est pas fini !

tartelette banane coco

Pour environ 8 tartelettes (pour moi moule silicone 7 cm de diamètre)

– à peu près 230 g de pâte sablée

– 125 g de crème fraîche épaisse

– 75 g de sucre en poudre

– 40 g de noix de coco râpée

– 2 oeufs

– 3 bananes

– un peu de jus de citron

Etaler la pâte sablée sur un plan de travail fariné et garnir les moules à tartelettes. Piquer le fond avec une fourchette. Réserver au frais.

Dans un saladier, fouetter les oeufs avec 50 g de sucre (prélevé sur les 75 g), la crème et la moitié de la noix de coco.  Bien mélanger.

Eplucher les bananes, les couper en rondelles épaisses et les arroser de jus de citron. Répartir les ronds de bananes dans les fonds de tartelettes.

Verser la crème sur les bananes et saupoudrer du reste de noix de coco râpée et du reste de sucre.

Enfourner dans le  four préchauffé à 200° et laisser cuire au moins 20 minutes.

Attendre que les tartelettes tiédissent un peu avant de démouler et déguster froid.

Le merveilleux

Cette recette est extraite de mon petit livre « 140 recettes de fête ». Le merveilleux est un petit gâteau que je ne connaissais absolument pas, donc avant de le réaliser, j’ai cherché sur le net s’il existait d’éventuelles variantes. Il s’avère que le merveilleux (dont les recettes ne sont pas nombreuses), n’est pas vraiment aussi « travaillé » que la recette que j’ai. L’original est constitué de disques de meringue posés l’un sur l’autre, fourrés et recouverts de simple chantilly et le tout enrobé de copeaux de chocolat.

Dans la recette que je vous présente aujourd’hui, ce sont aussi des disques de meringue mais aux zestes de citron, posés l’un sur l’autre également, fourrés et recouverts de mousse au chocolat, le tout recouvert aussi de copeaux de chocolat.

Soyons honnête, je n’aurais pas donné forcément le nom de « merveilleux » à ce gâteau, car alors, beaucoup d’autres le mériteraient tout autant sinon plus. Il n’est pas non plus à tomber !! C’est néanmoins une délicieuse gourmandise un peu riche d’accord, mais fort agréable à déguster et le zeste de citron inclus dans la meringue vient lui donner un petit plus, surprenant et original…mon fils et moi en avons fait notre régal.


Pour 6 personnes

Pour les meringues

– 3 blancs d’oeufs

– 210 g de sucre en poudre

– 20 g de maïzena

– 1 c. à café rase de zestes de citron

Pour la mousse

– 250 g de chocolat noir

– 10 cl de crème liquide entière

– 50 g de beurre

– 4 oeufs

– 30 g de sucre

– du chocolat pour en faire des copeaux

Monter les blancs d’oeufs en neige. Quand ils commencent à mousser, ajouter le sucre petit à petit en continuant de battre jusqu’à l’obtention d’un mélange compact et brillant.

Ajouter délicatement à la spatule la Maïzena et les zestes de citron.

Remplir une poche à douille et former 12 meringues rondes de 6 cm de diamètre. Mettre au four 1 heure à 90°, puis laisser refroidir dans le four. (au terme de la cuisson, mes meringues étaient un peu moelleuses en leur centre, je ne sais pas si c’est voulu pour la recette ou s’il est bon de prolonger la cuisson de 30 minutes pour des meringues plus croustillantes, j’opterais pour cette dernière solution).

Pour préparer la mousse, faire fondre le chocolat au bain-marie avec la crème et ajouter le beurre, bien mélanger pour que le tout soit bien homogène. Ajouter un par un les jaunes d’oeufs en fouettant bien.

Monter les blancs d’oeufs en neige et quand ils commencent à mousser, incorporer les 30 g de sucre en continuant à battre jusqu’à ce que le mélange soit brillant.

Les incorporer délicatement au mélange de chocolat. Faire prendre au frais au moins une bonne heure.

Coller deux meringues l’une sur l’autre avec une bonne cuillère à soupe de mousse puis recouvrir l’ensemble de mousse. Poser délicatement à l’aide d’une spatule plate chaque merveilleux sur les assiettes de service et les recouvrir de copeaux de chocolat que vous aurez faits avec un économe.  Réserver au frigo jusqu’à la dégustation et au moment de servir, recouvrir de sucre glace.

Duo chocolat et poires tatin à la vanille

C’est une recette extraite de mon livre « craquez pour le chocolat ». Une fois de plus voilà un duo séduisant, tout en harmonie et irrésistiblement bon. Je ne peux que vous conseiller de l’essayer !


Pour 6 personnes

– 200 g de chocolat noir à 70%

– 3 poires un peu fermes

– 2 oeufs

– 20 cl de crème fraîche liquide entière

– 40 g de beurre

– 1 gousse de vanille

– 120 g de sucre en poudre

Eplucher, épépiner et couper les poires en cubes moyens.

Dans une casserole, faire fondre le sucre avec 5 cl d’eau jusqu’à l’obtention d’un caramel blond. Hors du feu et rapidement, incorporer le beurre mou en mélangeant bien. Ajouter les cubes de poires, la gousse de vanille fendue en deux et laisser cuire à frémissements pendant 25 petites minutes.

Retirer la gousse de vanille et les 3/4 des poires. Mixer le reste avec le caramel puis réincorporer les morceaux de poires restants.

Répartir le caramel tatin dans le fond de 6 verrines et réserver au frais.

Séparer les blancs d’oeufs des jaunes. Dans une casserole, faire fondre à feu très doux, les morceaux de chocolat avec la crème liquide . Hors du feu, ajouter les jaunes d’oeufs en fouettant.

Monter les blancs en neige ferme et les incorporer délicatement à la préparation. Réserver un peu au froid, puis dresser dans la verrine à la poche à douille éventuellement. Réserver à nouveau au frais au moins 4 heures avant de déguster.

Bonbons aux pommes, sauce à l’érable

Voici une petite recette simple et sympa, mais néanmoins délicieuse, dont on ne fait qu’une bouchée ! J’avais envie de légèreté et de portions en modèle réduit pour commencer l’année… après s’être adonnée à la gourmandise avec les bonnes grosses bûches des Fêtes !

Quelques pommes revenues dans du beurre demi-sel, puis très légèrement caramélisées, enroulées dans des feuilles de brick, le tout nappé de yaourt au sirop d’érable et hop, le tour est joué !


Pour 4 personnes

– 4 feuilles de brick

– 3 pommes

– 25 g de beurre demi-sel

– 4 c. à soupe de sucre en poudre (cassonade pour moi)

– 2 c. à soupe de sirop d’érable

– 2 yaourts crémeux natures

Couper les pommes en quartiers. Retirer le coeur, les peler, puis les couper en petits dés. Les faire revenir 5 minutes dans une poêle dans le beurre demi-sel (ou beurre doux + pincée de sel), en remuant souvent. Saupoudrer avec le sucre et laisser encore revenir 3 minutes en remuant régulièrement. Réserver et laisser refroidir.

Couper les bords arrondis des feuilles de brick pour obtenir 4 carrés. Les couper en deux. Répartir les pommes refroidies sur les huit rectangles. Les rouler puis fermer les côtés avec de la ficelle de cuisine pour former les bonbons.

Les déposer sur la plaque du four recouverte de papier cuisson. Enfourner dans le four préchauffé à 210° et faire dorer 8 minutes environ. Retirer très délicatement les ficelles.

Préparer la sauce en mélangeant les yaourts et le sirop d’érable. Servir les bonbons nappés de cette sauce.

Magret de canard fumé au chèvre

Voici une petite recette toute simple mais raffinée et délicieuse dont vous ne ferez qu’une bouchée ! Une idée sympa pour l’apéro !


Pour 6 personnes

– 100 g de magret de canard fumé (pour ma part, j’ai utilisé des petites tranches toutes prêtes vendues sous vide, j’en ai prévu 2 par personnes)

– 100 g de chèvre frais

– 10 cl de crème fraîche

– huile d’olive

– 5 g de fleur de sel

– poivre

Si vous n’utilisez pas des tranches toutes prêtes, taillez de fines tranches de magret de canard.

Mélanger le chèvre avec la crème, rajouter juste un trait d’huile d’olive, la fleur de sel , et du poivre.

Garnir chaque tranche de magret avec une petite quenelle de chèvre. Les rouler et piquer avec une pique en bois au milieu. Déguster.

Pour ma part, j’ai déposé dans chaque coupelle un trait de caramel de vinaigre balsamique.